Le nettoyage à l'aide de lingettes sans alcool (du genre :
https://www.amazon.fr/gp/product/B0148RP5FA/ref=ppx_yo_dt_b_search_asin_title?ie=UTF8&psc=1) suivi d'un séchage à l'aide d'une compresse propre (mais pas obligatoirement stérile), et éventuellement de la mise en place d'un bâton de diatomite durant une heure ou deux, est possible s'il n'y a pas introduction de matières organiques dans l'orifice concerné. En pratique, donc, si le rapport a été mené intégralement avec un préservatif. Dans ce cas, l'application de la lingette puis de la compresse doit être profonde, et se fait à l'aide d'une pince chirurgicale longue (du type :
https://www.amazon.fr/gp/product/B00DADHFSY/ref=ppx_yo_dt_b_search_asin_title?ie=UTF8&psc=1) en allant bien jusqu'au fond du conduit et en effectuant plusieurs passes. La compresse sèche doit être passée lentement, surtout sur les poupées en TPE, afin de ne pas abîmer la matière interne.
Si le rapport a eu lieu sans protection, alors ce simple nettoyage n'est pas suffisant et il faut laver au savon, puis rincer abondamment, et sécher dans l'idéal au moyen d'un dispositif à air pulsé. L'application d'un antiseptique, d'un antibiotique ou d'un antifongique n'est pas nécessaire, sauf si on se sait atteint d'une infection génitale (risque d'auto-contamination), et bien sûr si la poupée est utilisée par plusieurs partenaires.
Le plus important est de s'assurer de l'absence totale d'humidité résiduelle dans la cavité, car celle-ci peut être à l'origine du développement de moisissures, qui, si elles ne sont pas très dangereuses pour la santé humaine, ne sont cependant pas très engageantes pour des rapports ultérieurs...