Doll Laboratory a écrit:Par contre j'arrive à les céder (j'en ai déjà vendu) mais dans ce cas la situation est différente car alors la Doll ne "m'appartient" plus et ce dans tous les sens du terme.
Comme pour une biologique: on ne s'oppose pas au divorce (c'est bien connu que seuls les conjoints violents sont possessifs, les autres respectent la liberté et laissent filer) mais pas d'échangisme, candaulisme, proxénétisme et autres conduites issues de l'amoralisme.
Tout juste une tendance au priapisme par mimétisme de l'immobilisme de nos compagnes.
Ces n'est pas de l'égoïsme dans une quête d'hédonisme, mais du synthéto-féminisme.
Perso, pour en avoir accompli bon nombre de mes fantasmes de lingerie avec mon ex-biologique, je peux vous dire que le plus excitant reste surtout d'habiiller ou mieux de voir sa partenaire s'habiller de ses tenues "spéciales" plaisantes à regarder mais au final encombrantes pendant l'acte, si bien que la fois suivante vous préférez les retirer durant les préliminaires par confort (les balleines de corsets sont gênantes, les doigts se coincent dans les résillees trop larges, les cheveux longs dans des agraffes, le string entre les fesses.) pour ne pas abîmer le vêtement (déchirure, tâches de sécrétion ou lubrifiant,..) ou les draps (accrochés par un talon aiguille ou le tardillon d'une boucle)
Ceci est similaire avec une Doll.
Par exemple retrouver et recoller les paillettes de la robe de la Reine des Neiges fut si galère que je ne le reproduirai pas.
Un simple shooting comprenant habillage & déshabillage de la Doll satisfera une grande partie des fantasmes, après il suffit de jeter un coup d'oeil à l'album photo avant de rejoindre sa compagne biologique dépourvue d'accessoire.